Jebel Um Ejil / The Beauty

The Beauty, une world classic ouvert en 1985 par Wilfried Colonna, un habitué du coin.

   

(Photo O. Lesbros)

Ici, en Jordanie, Moyen Orient oblige, tout se négocie ; ici Stéphane marchande avec un dromadaire pour se faire porter jusqu'au pied de la voie.
   

(Photo C. Gaydou)

Une approche sympathique qui peut varier entre 1h et 4h suivant son flair.
   
Dans le canyon d'approche avec un rocher sculpté qui est un appel à la grimpe de partout !
   

(Photo S. Brosse)

Quel est la différence entre un camalot 5 et un camalot 5 ???

Réponse plus bas...

   

(Photo C. Gaydou)

L1, une dulfer parfaite en 5+.
   
Même endroit vu du dessus.
 
En dulfer les manches longues sont plus que conseillées, surtout avec ce rocher super adhérent !
 
Le plaisir de la grimpe en terrain d'aventure : bien choisir sont point de protection et la taille de celui-ci.
   
C'est bon Stéphane, il tient ?
   
Olivier attaque L2 en 6a avec le crux comportant un tri doigt...
   

Mais qui est aussi à l'aise en pose de friends ???

(Photo C. Gaydou)

C'est Philippe Brass, le guide de Presles, mais on pourrait aussi dire le guide local, car il vient ici depuis une quinzaine d'année. Si vous souhaitez vous laissez guider, n'hésitez pas à lui demander ses services, il se fera un bonheur de vous accompagner dans les voies qu'il connaît très bien...

   
L3, encore un 5+ somptueux.
   

(Photo S. Brosse)

L4, revue et corrigé en dalle en 6a/b équipé de deux pitons. la voie originale est à droite.
 
Belle ambiance.
 

(Photo O. Lesbros)

Mais où est l'ancien camalot 5 ?

C'est la 2° cordée qui l'a ...

zut, y'a vraiment que là qu'il y en à besoin !?!

   

(Photo O. Lesbros)

Tout d'abord merci à Yannick Ardoin de m'avoir prêté son gros friends ; j'avais une grande pensé pour lui en gravissant cette voie, un style de grimpe qu'il affectionne particulièrement, pendant que lui était enfermé entre 4 murs blanc ...

 Bon, la réponse de la différence entre un camalot 5 et camalot 5 :

Tout d'abord, il y a deux versions de friends camalot, la dernière version étant plus légère, mais la numérotation des tailles ne correspond pas avec l'ancienne version. Le nouveau camalot 5 correspond à l'ancien n°4.5 !

Ce qui veux dire qu'avec le nouveau camalot 5, je me suis retrouvé avec un friends trop petit pour protéger la fissure, la preuve en image...

En résumé, il faut un ancien numéro 5 ou un nouveau n°6 sinon engager un peu pour placer le friends plus haut !...

   

(Photo O. Lesbros)

Une Off witch plus impressionnante que difficile surtout pour nous, qui n'avons pas l'habitude de ce style de grimpe.
   

(Photo S. Brosse)

En second, la sensation est complètement différente ...
   

(Photo S. Brosse)

Coincement, dulfer, dalle, ... chacun sa technique !
   
Dans le haut de la longueur qui marque la fin des difficultées.
   
On quitte la fissure large pour terminer en dalle.
 

(Photo O. Lesbros)

Stéphane Brosse, bien connu dans le monde du ski alpinisme, mais qui sera bientôt aussi à l'aise dans ses chaussons d'escalade que sur ses skis...
 

Wadi Rum, un village bédouin de 1000 habitants où se rendent des touristes pour visiter à la journée (car il n'y à pas d'hôtel) le désert sur les traces de Lawrence d'Arabie, célèbre archéologue et aventurier britanique.

   
Cyril devant le massif du Djebel Rum.
   
Pour finir notre voie jusqu'au sommet, nous monterons en mode bédouin : pas encordés et nus pieds.
   
Contemplation.
   

Y'a pire comme vue.

   

(Photo O. Lesbros)

Pour revenir à Wadi Rum, nous traversons encore des paysages magnifiques avec des roches en forme de méduses.

 
Une world classique qui n'est pas près de prendre une ride !
   
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